Je t'aime pas
Paroles et musique : Eric Maïolino
Musique : Bernard Fougeirol
J’avoue j’en ai bavé
Quand j’ai eu vent de toi
Même le temps d’un couplet
Ne t’en déplaise, on ne s’aimera pas
Que la vie nous sépare
Tout doucement, sans bruit
Moi je dis noir c’est noir
Quand c'est toi qui dis oui
Crois-moi, on n’ira pas
Où tu voudras quand tu voudras
Et je serai heureux encore
Lorsque l'amour sera bien mort
Je t’aimais pas, je t’aime pas
Et je t’aimerai jamais
Le ciel peut s'effondrer
Et la terre s'écrouler
Peu m'importe que tu m'aimes
Si fort que les draps s'en souviennent
Tu le sais, ta façon
D’être à moi me déplaît
A perdre la raison
Ma pauvre, tu t’laisses aller
Quand on n’a que l’amour
On n’emmerde pas le monde entier
Guéris ta maladie qui court
Avant que t’aies soixante-dix balais
Je t’aimais pas, je t’aime pas
Et je t’aimerai jamais
Tu veux être mon ombre
Et déjà tu m’encombres
Tu veux me donner ta main ?
Tu peux la garder pour ton chien
J’ai envie de détruire
Tout ce qui te plaira
Quand je te vois ouvrir
L’espace de tes bras
Je te bouscule, comme d’hab’
Mais tu sais j’ai besoin de rien
Un beau jour, avec le temps, va
On n’aime plus et c’est très bien
Je t’aimais pas, je t’aime pas
Mais bon faut jamais dire jamais
J’avoue j’en ai bavé
Quand j’ai eu vent de toi
Même le temps d’un couplet
Ne t’en déplaise, on ne s’aimera pas
Que la vie nous sépare
Tout doucement, sans bruit
Moi je dis noir c’est noir
Quand c'est toi qui dis oui
Crois-moi, on n’ira pas
Où tu voudras quand tu voudras
Et je serai heureux encore
Lorsque l'amour sera bien mort
Je t’aimais pas, je t’aime pas
Et je t’aimerai jamais
Le ciel peut s'effondrer
Et la terre s'écrouler
Peu m'importe que tu m'aimes
Si fort que les draps s'en souviennent
Tu le sais, ta façon
D’être à moi me déplaît
A perdre la raison
Ma pauvre, tu t’laisses aller
Quand on n’a que l’amour
On n’emmerde pas le monde entier
Guéris ta maladie qui court
Avant que t’aies soixante-dix balais
Je t’aimais pas, je t’aime pas
Et je t’aimerai jamais
Tu veux être mon ombre
Et déjà tu m’encombres
Tu veux me donner ta main ?
Tu peux la garder pour ton chien
J’ai envie de détruire
Tout ce qui te plaira
Quand je te vois ouvrir
L’espace de tes bras
Je te bouscule, comme d’hab’
Mais tu sais j’ai besoin de rien
Un beau jour, avec le temps, va
On n’aime plus et c’est très bien
Je t’aimais pas, je t’aime pas
Mais bon faut jamais dire jamais